
L’appel
de la poésie
l’écouter

Max-Pol et sa femme Jeanne Ghirardi

Jeanne Ghirardi à Alger dans le Bureau de Fontaine
Cette poésie accueille le vieux fatum, l’anankê, le destin l’habille de métaphores et d’allégories, ou le laisse nu sur les aires du tragique, battues de vent, brûlées de lumières, dévorées de nuit, c’est selon. Nous avons, nous, à l’y chercher, le découvrir, l’écouter. Nous lisons des livres, mais rarement le destin. Faut-il dire hélas ou tant mieux ? Je ne sais. Les êtres ne se confondent pas avec l’être.


